Programmes de réduction de l’incidence des blessures à la tête et au cou liées au sport, incluant les commotions cérébrales : revue systématique

Une analyse de Shruti Nambiar info

POINTS CLÉS

  1. Une plus grande force du cou peut être associée à une incidence réduite de commotion cérébrale liée au sport.
Tous les points clés disponibles seulement pour les membres

CONTEXTE ET OBJECTIFS

Les femmes et les jeunes athlètes courent un risque plus élevé de subir une commotion cérébrale liée au sport (sport-related concussion, SRC). Elles ont des délais de récupération plus longs et une force du cou plus faible (1,2). La force de la partie basse du cou ou la dysfonction cervicale prédispose les athlètes ayant des antécédents de SRC à une nouvelle SRC (1). Par conséquent, l’entraînement des muscles du cou pourrait être une stratégie potentielle pour réduire le risque de blessures à la tête et au cou liées au sport.

Le but de cette revue systématique était de :

  1. Étudier la relation entre la force du cou et les blessures à la tête et au cou liées au sport, notamment dans la SRC.
  2. Évaluer si les interventions par l'exercice du cou peuvent réduire l’incidence des blessures à la tête et au cou liées au sport, notamment dans la SRC.

La force de la partie basse du cou ou une dysfonction cervicale prédispose les athlètes ayant des antécédents de SRC à une nouvelle SRC.
bulb
Une force du cou plus importante influence le changement de vitesse de la tête et, lorsque les patients se "gainent" en vue d'un impact probable, cela peut réduire le risque de commotion cérébrale.

MÉTHODE

Les études ont été sélectionnées en examinant cinq bases de données électroniques et les listes de références des études incluses. Cette revue systématique a suivi les recommandations PRISMA. L’article comprenait des études qui répondaient aux critères suivants :

pour déverrouiller l'accès à cette analyse et 807 autres
En collaboration avec l'Agence EBP
Agence EBP Logo