La douleur et l'incapacité chez les femmes souffrant de douleur fémoro-patellaire sont liées à la kinésiophobie, mais pas aux variables de charge de l'articulation fémoro-patellaire

Une analyse de Shruti Nambiar info

POINTS CLÉS

  1. La recherche d'une kinésiophobie est liée a l'élaboration d'un programme de traitement réussi, en raison de son influence négative sur les résultats de la rééducation.
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CONTEXTE ET OBJECTIFS

De mauvais résultats ont été rapportés chez plus de 50 % des patient·e·s souffrant de douleur fémoro-patellaire (PFP) (1). Une augmentation de la charge sur l'articulation fémoro-patellaire (AFP) a été observée dans plusieurs activités chez les personnes atteintes de PFP. Cependant, il existe de plus en plus de preuves indiquant une contribution des facteurs psychologiques sur la douleur et le handicap chez les femmes atteintes de DFP (1).

Il a été proposé que la kinésiophobie soit l'un des médiateurs de la cinématique altérée lors de la déambulation en escalier. Cette étude visait à étudier simultanément la relation entre les variables de charge sur l'AFP et la kinésiophobie avec la douleur et l'incapacité autodéclarées lors de la montée des escaliers chez les femmes atteintes de DFP.

De mauvais résultats ont été rapportés chez plus de 50 % des patient·e·s souffrant de douleurs fémoro-patellaires.
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Les clinicien·ne·s doivent reconnaitre la complexité de la DFP et tenir compte de la contribution des facteurs psychosociaux ainsi que d'autres facteurs lors de l'évaluation et de la prise en charge des femmes atteintes de DFP (1).

MÉTHODE

57 femmes ont été recrutées pour cette étude transversale par le biais de publicités. Les critères d'éligibilité comprenaient :

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En collaboration avec l'Agence EBP
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