Présence et pronostic des atteintes nerveuses après un « coup du lapin » : une étude de cohorte prospective

Une analyse de Dr Julia Treleaven info

POINTS CLÉS

  1. Une lésion nerveuse aiguë après un « coup du lapin » est relativement fréquente.
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CONTEXTE ET OBJECTIFS

Par définition, le trouble associé au « coup du lapin » (WAD) de grade II est le plus fréquent. Il est généralement associé à des douleurs cervicales et à des atteintes musculosquelettiques, sans lésion neurologique manifeste. Cependant, une atteinte nerveuse subtile peut être présente (1). Celle-ci pourrait contribuer à une mauvaise récupération ainsi qu’à des douleurs persistantes et une incapacité fonctionnelle chez certains patients (2–4). Mieux comprendre le développement et la nature des atteintes nerveuses pourrait orienter une prise en charge ciblée.

Cette étude de cohorte longitudinale avait pour objectif d’examiner la présence, l’évolution temporelle et la valeur pronostique des atteintes nerveuses et de la douleur neuropathique dans les cas de WAD de grade II.

Le trouble associé au « coup du lapin » (WAD) de grade II est le plus fréquent. Il est généralement associé à des douleurs cervicales et à des troubles musculosquelettiques sans lésion neurologique évidente — toutefois, une atteinte nerveuse subtile peut être présente.
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Une anamnèse complète, incluant des descripteurs de la douleur et le comportement des symptômes, combinée à un examen neurologique clinique, devrait être utilisée pour identifier et suivre la douleur neuropathique et les atteintes nerveuses après un « coup du lapin ».

MÉTHODE

  • 129 personnes présentant un trouble associé au « coup du lapin » (WAD) de grade II, dans les quatre semaines suivant la blessure, et 36 individus en bonne santé ont été évalués au départ et à six mois de suivi.
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En collaboration avec l'Agence EBP
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