Entraînement en résistance pendant la grossesse : revue systématique et méta-analyse des critères de jugement maternels, obstétricaux, fœtaux et du plancher pelvien, et appel à l’action

POINTS CLÉS

1. L’entraînement en résistance n’a été associé à aucun effet indésirable pendant la grossesse ni en période post-partum.

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CONTEXTE ET OBJECTIFS

L’activité physique est conseillée dans la plupart des recommandations pour les femmes enceintes, mais seulement 25 % d’entre elles atteignent la recommandation minimale de 150 minutes d’activité physique par semaine. De plus, bien que l’entraînement en résistance (ER) soit recommandé, il s’accompagne de précautions concernant l’intensité, la charge et le positionnement (1).

Cette revue systématique et méta-analyse visait à explorer les effets de l’ER pendant la grossesse sur les critères de jugement liés à la grossesse, à l’accouchement, au fœtus et au plancher pelvien.

L’activité physique est conseillée dans la plupart des recommandations pour les femmes enceintes, mais seulement 25 % d’entre elles atteignent la recommandation minimale de 150 minutes d’activité physique par semaine.

Une diminution de la pré-éclampsie a été observée chez les personnes soulevant >80 % de leur charge maximale sur une répétition (1RM) pendant la grossesse, ainsi qu’un effet protecteur contre les troubles de l’humeur périnataux chez les participantes à l’entraînement en résistance.

MÉTHODE

• Cette revue systématique et méta-analyse a suivi les lignes directrices PRISMA et a été enregistrée dans l’International Prospective Register for Systematic Reviews.

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